samedi 4 juillet 2015

Paul vous donne rendez vous sur la passerelle



Paul (Knoery - Bac 2009) et son ami Paul sont arrivés au bout de leurs 15 000 km parcourus sur les routes de l'Asie. 
Les élèves de TES3 qui les ont suivi au long de leur parcours et dont ils ont enrichi les cours par leur vécu, ainsi que Jean-Michel Schaetzel, leur professeur, vous donnent 

rendez vous à vélo le 10 juillet à 13h00 
sur la passerelle Mimram au Jardin des Deux Rives.

Après le passage  - accompagné ! - de cette dernière frontière, le Gymnase vous invite à fêter leur retour dans la cour de l'établissement, fête à laquelle s'associent les Alumni du Gymnase. 

2005, le retour !



Une quarantaine de bacheliers de la génération 2005, venus de multiples horizons, se sont retrouvés au Gymnase le 30 mai dernier, à l'occasion de la journée Portes Ouvertes, à l'initiative de Tristan Bossard.
Ils ont fêté leurs 10 ans de retrouvailles lors d'une soirée très conviviale dans les locaux mis à leur disposition, partageant souvenirs et projets avec les professeurs qu'ils avaient invités.
Les Alumni se réjouissent de cette belle dynamique et leur adressent tous leurs vœux pour la suite de leurs trajectoires.

La génération 1985 a déjà fait part du souhait de se retrouver aussi dans des locaux, quittés il y a 30 ans, pour célébrer un joyeux trentenaire. Bienvenue à tous !

Et en face de chez Christian ?


Oui, là aussi des échafaudages ont surgi sur toute la façade du Gymnase donnant sur la place du Temple Neuf et au-delà.
Et que se passe-t-il ? Tout simplement la poursuite du programme immobilier amorcé avec le "Cube", dont nous aurons l'occasion de reparler, par la surélévation de ce bâtiment latéral. Un étage de plus, pour aligner sa hauteur avec celle de l'aile centrale et surtout mettre davantage de locaux à la disposition des 1 250 élèves et de leurs professeurs, un peu à l'étroit pour développer de nouvelles pédagogies, de nouveaux projets. 
L'été va non seulement être chaud, mais aussi très dense dans les locaux du Gymnase !

Robert (Bac 1959) l'incomparable qui sifflait pour travailler


Comment Robert Wurtz, bachelier au Gymnase en 1959,  est devenu un arbitre exceptionnel, qualifié par les Brésiliens de "Nijinski du sifflet": 




Robert Wurtz a passé sa carrière à fouler les pelouses de France, d’Allemagne, du Mexique ou d’Argentine en crampons. Désormais, c’est pieds nus qu’il arpente le macadam de Climbach (Bas-Rhin) quand il va chercher son pain, ou les chemins forestiers alentour quand il part en promenade. Plus besoin de chaussures. Après tant d’années à « bourlinguer, tourner, foncer, demander sans cesse : “Où je vais ensuite ?” », le petit homme de 73 ans n’a plus la bougeotte.
« Le premier devoir du citoyen, c’est le calme », lui a-t-on dit un jour. Si c’est vrai, alors Robert Wurtz (bien prononcer « vurtz », et non « vourtz ») est un citoyen modèle, tant sa vie d’aujourd’hui illustre le concept de retraite paisible, entre nature, lecture, sudoku et amer-bière-citron sur la terrasse de sa maison aux côtés de sa femme et de sa fille. De quoi compenser l’agitation de sa vie d’avant, qui s’est achevée le 2 juillet 2007 par un AVC à l’issue du tournage de l’émission « Intervilles », où il avait été engagé pour jouer le même rôle que celui qu’il occupa pendant trois décennies sur les terrains de football : arbitre.

S’il est le seul homme en noir dont le patronyme soit célèbre en France, c’est que monsieur Wurtz n’était pas un arbitre. C’était un artiste. « Robert Wurtz se produira demain soir au stade de Gerland », pouvait-on lire dans Le Progrès. On allait au stade pour le voir, autant que les 22 joueurs qui gravitaient autour de lui. Fils d’un clarinettiste et d’une artiste des chœurs à l’opéra du Rhin, Robert Wurtz était un spectacle à lui tout seul, comme il le répète souvent, de sa voix qui rappelle celle de Frédéric Mitterrand, l’accent alsacien en plus : « Je faisais du théâtre là où il est interdit d’en faire. »
Le Strasbourgeois se laissait volontairement décrocher des actions pour les rattraper grâce à des sprints tonitruants, la foulée ample et bondissante. S’il était sur la trajectoire d’une passe latérale, il esquivait le ballon à la façon d’un torero, surtout lorsqu’il arbitrait à Nîmes. Pour détendre une atmosphère hostile, il s’allongeait sur le terrain et faisait le mort, où s’agenouillait devant un joueur ou un entraîneur pour l’implorer de garder son calme, comme il le fit lors d’un PSG-Auxerre au Parc des Princes devant Guy Roux, lequel, image mémorable, s’agenouilla à son tour. Wurtz quittait parfois la pelouse sous l’ovation du public, auquel il répondait en serrant le poing comme pour dire que c’est lui qui avait gagné le match.

En 1974, il part arbitrer une série de rencontres amicales au Brésil, dont l’une oppose la Seleçao à la Roumanie. Les locaux mènent 2-0 au bout d’une heure, le match sombre dans l’ennui. Alors Wurtz commence son numéro, enchaîne les sprints de 80 mètres sans raison particulière, et fait étalage de sa gestuelle théâtrale. « Le public brésilien, qui s’emmerdait parce qu’il ne se passait plus rien, a commencé à se dire : “Mais qui c’est celui-là ?” A la fin du match, il y avait trente journalistes qui m’attendaient. Le lendemain, l’un d’entre eux a écrit dans O Globo que j’étais le “Nijinski du sifflet”, et ça a fait le tour du monde. » Le quotidien allemand Bild lui attribuera pour sa part le surnom de « Karajan ». En ex-Yougoslavie, il sera, plus sobrement, « le Professionnel ».

·         image: http://s1.lemde.fr/mmpub/edt/zip/20150605/114415/assets/images/content/04-2000.jpg

Car on a tellement retenu le saltimbanque qu’on en a presque oublié l’excellent arbitre, le meilleur de France en 1971, 1974, 1975, 1977 et 1978, selon le vote des journalistes. Robert Wurtz aurait préféré être footballeur, porter les couleurs du Racing Club de Strasbourg et enflammer la Meinau, lui qui est né à 800 mètres de ce stade où, entre ses 5 ans et ses 15 ans, il n’a loupé que deux matchs : « Le premier à cause de ma confirmation, Strasbourg-Monaco, 5 à 0. Et le second, Strasbourg-Alès, en division 2, 9 à 3. Il pleuvait, j’avais 40 de fièvre, j’ai pas pu y aller, j’ai pleuré. »
Mais pas assez doué techniquement, il s’est tourné vers l’arbitrage, à moitié pour rester dans le milieu du foot, à moitié pour éviter de grossir. « Au début, je n’y connaissais rien, mais je me disais : “Tant que je serai à côté du ballon, on ne pourra pas dire que je ne vois pas.” » Alors que ses prédécesseurs travaillaient « presque endimanchés » et au trot, il fut le premier arbitre à cavaler autant que les joueurs, et on le voyait parfois, selon la jolie formule d’un confrère, « déborder l’ailier qui était en train de déborder » : « Vous allez dire que je me flatte, mais il paraît que j’ai révolutionné le système. »
Sa qualité lui valut d’officier lors d’une ribambelle de matchs au sommet en France, d’une finale de Coupe des vainqueurs de Coupe (1976), d’une finale de Ligue des champions (1977), de deux Euros (1976 et 1980) et, consécration suprême, de deux rencontres de la Coupe du Monde 1978 en Argentine, laquelle faillit pourtant lui passer sous le nez à cause d’une hépatite contractée quelques mois plus tôt. Heureusement que les arbitres n’étaient pas soumis aux contrôles antidopage lors de ce Mondial vécu sous cortisone : « J’aurais été positif à exploser. »
image: http://s1.lemde.fr/mmpub/edt/zip/20150605/114415/assets/images/content/03-1024.jpg

Cette Coupe du monde au pays du dictateur Videla, entre les agents secrets planqués au Carlton où étaient logés tous les arbitres, et les visites guidées en bus façon Corée du Nord, Wurtz « en garde le souvenir d’un service militaire ». « Je suis content de l’avoir faite, dit-il, mais ça n’est pas le meilleur moment de ma carrière. Les plus beaux souvenirs, ce sont les matchs de tous les jours. Une ambiance à Nîmes ou à Bastia, ces choses que je raconte avec plus de joie que les consécrations officielles où tout doit être comme ci ou comme ça. Quand j’étais libre d’arbitrer à ma façon, j’étais heureux. »
« Sa façon » lui a valu l’inimitié de beaucoup de gens en costard, mais elle lui a attiré la sympathie non seulement des supporteurs mais encore des joueurs, qu’il admirait. Il arrivait parfois que monsieur Wurtz leur soufflât (il adore l’imparfait du subjonctif) de quel côté faire la bonne passe, les dissuadât de tenter un tacle dangereux, ou leur glissât un mot de réconfort s’ils venaient de tirer à côté. Inconcevable de nos jours. « Aujourd’hui, je ferais deux matchs à ma façon, je me ferais fusiller par la commission d’arbitrage. » Pour Robert Wurtz, être arbitre, c’était diriger le jeu, pas seulement siffler et sanctionner : « Sinon, autant être policier et faire la circulation. »

L’arbitrage de Robert Wurtz est celui d’une époque révolue. Une époque moins technocratique. Une époque où l’arbitre percevait 40 francs par match (« plus les frais de déplacement et de nourriture »). Une époque où, malgré d’inévitables « Aux chiottes l’arbitre ! » en tribunes, celui-ci n’était pas l’adversaire de tout le monde comme cela semble parfois être le cas désormais.
Wurtz n’est pas sûr qu’il pourrait arbitrer aujourd’hui, alors que les hommes en noir se font tomber dessus tous les week-ends pour un oui ou pour un non. « Nous avions plus le bénéfice du doute, grâce au manque d’images. Il n’y avait ni ralentis ni Internet. Et je sais bien qu’aujourd’hui, il y a un milliard en jeu à chaque but, mais faut pas exagérer non plus. Sur une saison, il y a 38 matchs, les erreurs d’arbitrage finissent par s’équilibrer. »

L’Alsacien a évidemment commis les siennes, et s’est parfois retrouvé dans l’œil du cyclone. Son pire souvenir reste la finale de la Coupe de France 1973 entre Lyon et Nantes, au cours de laquelle il accorda au Lyonnais Lacombe le but de la victoire (2-1), marqué après un contrôle de la main qu’il n’avait pas vu. Le Nantais Couécou aura cette phrase, à la fin de la rencontre : « C’est Ray Charles qui arbitrait ce soir. » L’épisode vaudra à Robert Wurtz six mois de dépression, dont il ressortira plus fort.
Chercheur en botanique au CNRS, chargé de relations publiques pour Eurest, chargé de mission pour la région Alsace, laborantin… Robert Wurtz a exercé huit métiers en parallèle de l’arbitrage, qui n’était à l’époque pas professionnel, mais aucun ne lui a apporté autant que le rectangle vert qui lui servait de scène. « “Ce que je sais de la morale, c’est au football que je le dois”, a écrit Camus. Je signe tout de suite. La joie, la souffrance, la traitrise, l’injustice, se battre contre, voir comment l’autre réagit… J’ai plus appris sur l’homme grâce à l’arbitrage qu’à mes études scientifiques de troisième cycle, je vous le jure. »

Robert Wurtz a passé sa carrière à fouler les pelouses de France, d’Allemagne, du Mexique ou d’Argentine en crampons. Désormais, c’est pieds nus qu’il arpente le macadam de Climbach (Bas-Rhin) quand il va chercher son pain, ou les chemins forestiers alentour quand il part en promenade. Plus besoin de chaussures. Après tant d’années à « bourlinguer, tourner, foncer, demander sans cesse : “Où je vais ensuite ?” », le petit homme de 73 ans n’a plus la bougeotte.
« Le premier devoir du citoyen, c’est le calme », lui a-t-on dit un jour. Si c’est vrai, alors Robert Wurtz (bien prononcer « vurtz », et non « vourtz ») est un citoyen modèle, tant sa vie d’aujourd’hui illustre le concept de retraite paisible, entre nature, lecture, sudoku et amer-bière-citron sur la terrasse de sa maison aux côtés de sa femme et de sa fille. De quoi compenser l’agitation de sa vie d’avant, qui s’est achevée le 2 juillet 2007 par un AVC à l’issue du tournage de l’émission « Intervilles », où il avait été engagé pour jouer le même rôle que celui qu’il occupa pendant trois décennies sur les terrains de football : arbitre.


·         1941 Naissance le 16 décembre à Strasbourg (Bas-Rhin).
·         1969 Premier de ses 450 matchs de Division 1 (Sedan-Marseille).
·         1977 Finale de la Coupe des clubs champions européens, l’ancêtre de la Ligue des champions.
·         1978 Deux matchs de la Coupe du monde en Argentine.
·         1990 Dernier match officiel (Montceau-Dijon, en Division 2).
·         1998 Première apparition dans « Intervilles ».


Raphaël (Bac 2000) lance sa start-up à l'assaut du Nuage


NuageBox, le service cloud français

qui veut remplacer Dropbox en entreprises

 

En s’appuyant sur le cloud de Cloudwatt et en collaboration avec l’éditeur Numvision, la start-up parisienne Nuage Labs lance NuageBox, un service de stockage et partage de fichiers en ligne présenté comme une alternative française à Dropbox en entreprises.

Le monde du stockage et du partage de fichiers en ligne compte un nouveau service en France : NuageBox. Il est lancé par Nuage Labs à destination exclusive des entreprises et collectivités locales. Cette start-up parisienne, créée il y a 4 ans, mise sur un nouveau modèle économique et une localisation des données en France pour séduire des professionnels attachés à la maîtrise du coût et de la sécurité. Son directeur général, Raphaël Nicoud, n’hésite pas à présenter son offre comme une alternative française, économique et sécurisée, au service américain Dropbox en entreprises, la référence absolue en matière de stockage et partage de fichiers en ligne.

Fruit de trois ans de R&D, NuageBox se fonde sur le logiciel de Numvision utilisé par les entreprises pour construire des solutions internes de stockage, synchronisation et partage de fichiers. Nuage Labs l’a packagé pour en faire un service cloud. "Tout se passe comme si l’entreprise avait bâti sa propre solution de stockage, synchronisation et partage de fichiers, explique Raphaël Nicoud. La seule différence c’est que les données sont stockées sur des serveurs dans le cloud et non dans ses propres datacenters." Le service s’appuie en effet sur l’infrastructure de Cloudwatt, l’un des deux opérateurs de cloud souverain aux cotés de Numergy, devenu en mars 2015 propriété à 100 % d’Orange. Les données sont stockées dans le nouveau datacenter de l’opérateur télécoms à Val-de-Reuil, en Normandie.

UNE SOLUTION CONTRE LE SHADOW IT
Il existe déjà une pléthore de services français de stockage et partage de fichiers en ligne pour entreprises dont iExtranet d’Oodrive, Ikeepincloud d’Ikoula, Flexible Storage d’Orange ou encore SFR Sync de SFR. "Mais ils sont tous packagés pour être accessibles directement par les utilisateurs sur leurs postes de travail, précise Raphaël Nicoud. Le nôtre se situe au niveau serveur. C’est à l’entreprise cliente de le distribuer à ses employés selon ses propres règles d‘accès. Elle dispose ainsi d’un meilleur contrôle en termes de sécurité, d’usages et de coût qu’avec les solutions traditionnelles de type Dropbox." L’objectif est de lutter contre le phénomène de Shadow IT, cette utilisation sauvage de services numériques par les employés eux-mêmes à l‘insu de la direction informatique.
Cette particularité conduit Nuage Labs à proposer un modèle de commercialisation nouveau selon la capacité de stockage, indépendamment du nombre d’utilisateurs, alors que les services traditionnels sont accessibles sur abonnement par utilisateur. Le service est vendu par voie indirecte via des revendeurs, distributeurs et intégrateurs. Le prix indicatif pour 5 téraoctets oscille autour de 1 000 euros par mois, quel que soit le nombre d’utilisateur en entreprise. "Pour un client à 100 utilisateurs, notre solution à 2 téraoctets revient deux fois moins cher que Dropbox", promet Raphaël Nicoud.

500 CLIENTS ATTENDUS EN 2015
Nuage Labs démarre en ciblant cette année les collectivités locales, une clientèle potentielle qui, pour des raisons de règlementation en matière de protection de données, ne peut pas opter pour Dropbox. La cible s’étendra ensuite aux entreprises à plus 50 utilisateurs. Le service a vocation à s'adresser à des clients en France, même si une extension à l’international est envisagée plus tard avec des partenaires. Raphaël Nicoud espère séduire 500 clients cette année. L’objectif est d’atteindre un chiffre d’affaires de 20 millions d’euros en 2016.


PUBLIÉ LE 03 JUIN 2015 À 15H57

Charles (Bac 2000), Frédéric et la mazurka

Romantique et élégant

La saison d’Alcor presque achevée proposait, samedi soir, le récital du pianiste Charles Offenstein. Avec Chopin en exergue.
Belle affluence en l’église protestante Saint-Pierre-le-Vieux, pour ce concert où le public fit preuve d’une attention soutenue, charmé par l’esprit “cantabile” de l’ancien élève de Réna Shereshevskaya à Colmar.
Offenstein saisit le récital avec une sonate de Mozart affable et d’un tempérament égal, profitant de la douce réverbération pour livrer une interprétation posée, modérée dans les tempi et scandée par des silences allongés. L’adagio, apaisé, lumineux, avec un aigu présent, s’enchaînant sur un rondo plus léger et mordant, reflétant l’azur d’un ciel sans nuages.
De Chopin vient l’immense Ballade n°4 , dont le phrasé sans débordement dégage une délicate nostalgie. La deuxième sonate du maître polonais s’inscrit dans la même veine, même si l’entrée, martiale, au rythme très pulsé, laisse entrevoir par son agitation une explosion lyrique à la limite du contrôle ; mais l’équilibre entre retenue et moments débridés est maintenu. Et dans le scherzo, une copie propre et solide.
La Marche funèbre jouée dans un tempo lent assumé, sonne avec profondeur. Et le final livre son hallucinant nuage de notes duquel se dégagent des pointes claires malgré la pédale enfoncée.
Pour clore, le récital, le n° 5 de Rachmaninov et son armure de bémols, avec un astucieux effet d’écho dans l’aigu au choral tendre du médium.
Et Charles Offenstein remercia le public avec une alerte mazurka de Chopin.

DNA 6 juin 2015

Charles Offenstein a été scolarisé à Lucie Berger de 1998 à 2000 dans le cadre d'une scolarité adaptée au développement de ses talents musicaux exceptionnels. Bravo à lui !