lundi 28 octobre 2019

Pluie de prix


Remise des prix 1789
Non, ce n’est pas la dernière promotion de votre supermarché de quartier, mais l’atmosphère dans laquelle a baigné cette matinée - pluvieuse par ailleurs - du 19 octobre dernier. A l’amphi Le Bel, sur le campus universitaire, se tenait en effet la cérémonie de remise des prix du Gymnase.

Tradition fort ancienne, comme en témoigne l'invitation à la remise des prix de .... 1789, année révolutionnaire, ci-contre. 





Mais cette année-ci, la tradition avait été quelque peu chamboulée. Adieu donc à l’apex des mentions très bien (en fait, limités aux élèves ayant obtenu 18/20 ou plus au baccalauréat...)  dont les prix furent distribués, une fois n’est pas coutume, en plein milieu de la cérémonie. 

Adieu les intermèdes musicaux du chœur Ostinati (dont les membres avaient besoin de se reposer après une actualité très chargée). A la place, le public a pu assister à plusieurs performances du jeune Joachim Zimmermann (4ème) dont l’archet glissait sur les cordes de son violon avec beaucoup d’aisance. 



Quelques nouveaux prix ont aussi fait leur apparition à côté de ceux dédiés à l'investissement dans la vie sociale du Gymnase, aux résultats et concours académiques: celui de l’éco-citoyenneté qui récompensait les élèves ayant eu des initiatives en faveur de la protection de l’environnement, la première promotion du Baccalauréat International, le chant choral, l'éloquence, les roses de la solidarité, Théo challenge, animation ....  Une reconnaissance de la diversité des talents et de l'investissement personnel au service de la communauté éducative du Gymnase. 

 L’association Le Gymnase Alumni a pu, comme chaque année, récompenser des élèves qui s’étaient distinguées pour leur savoir-être et leurs qualités humaines. 

Après une brève allocution de Sophia Huynh-Quan-Chiêu sur les activités de l’association et une invitation chaleureuse à s’abonner à sa page Facebook,  Laurence Riester et Cécile Clément ont remis un chèque-cadeau de la Fnac ainsi qu’un certificat à trois élèves qui avaient œuvré au sein du Conseil à la Vie de l’Etablissement :

SCHRENCK Adriana promotion Bac 2019 élève TS2
Son leadership auprès des 17 élèves élus du CVE a permis de faire progresser le travail des commissions de cette instance : récupération des piles, animations dans la cour (opération mannela, galette des reines et des rois…) Elle a su mobiliser les élèves lors de diverses actions (père cent, dernier jour des terminales…)

KINDO Camille T°S4
Camille s’est engagée régulièrement toute l’année au CVE. Son talent d’illustratrice a permis de bénéficier d’une qualité remarquable pour les affiches et les encarts (flyers). Sa patience, son écoute et son engagement régulier distinguent une personne d’une grande sensibilité et d’une belle attention aux autres.

MARMET Jules 1°1
Engagé depuis la classe de 4 ème au CVE, Jules a un sens aigu de la communication. Il n’hésite pas à s’impliquer devant sa promotion de 250 élèves lors des Assemblées Plénières au Temple Neuf. L’année passée, il a géré le jury de l’évènementiel le plus important des élèves : le carnaval du CVE.

Ces élèves sont les ambassadeurs et les symboles vivants des valeurs défendues par l’association. Souhaitons-leur de les garder en eux tout au long de leur vie !

samedi 26 octobre 2019

La maison des Tanneurs s’expose


Qui ne la connaît pas, à l’entrée du quartier de la Petite France ? Sans doute plus pour sa gastronomie alsacienne que comme Monument Historique. Et pourtant elle est classée depuis 1927. Et elle attire autant les artistes que les gourmets.









C’est ce qu’a bien compris Philippe Lenhardt, amateur d’art, entre autres. Sa famille tient la Maison des Tanneurs depuis 1956, son frère François succédant à leur mère, Gabrielle, en 1972 et déjà, avec Jérôme Lenhardt (bac 2004 à Lucie Berger), directeur général de l’établissement, pointe une nouvelle génération pour poursuivre cette aventure.

N’hésitez pas à vous rendre à l’exposition « La Maison des Tanneurs vue par les artistes », ouverte jusqu’au 16 novembre, au 42 rue du Bain-aux-Plantes.

Voici des extraits de l’article que les DNA lui ont consacré le 10/10/19:


Strasbourg : une exposition sur la Maison des Tanneurs, source d'inspiration de nombreux artistes
  
Depuis son poste d’observation de la Neustadt Galerie, spécialisée dans l’art en Alsace de la fin du XIXe  siècle à l’après-guerre, Walter Kiwior a pu constater combien la Maison des Tanneurs, ancienne tannerie édifiée en 1572, témoignage de l’architecture opulente de la Renaissance à Strasbourg, avait inspiré les artistes. « Il est vrai que sa position centrale au cœur de la Petite France, quartier très pittoresque, la rend un peu incontournable dès lors qu’on cherche à restituer une atmosphère du Vieux Strasbourg », commente le galeriste.

De Seebach à Doisneau
Une remarquable aquarelle de l’architecte Gustave Krafft (1861-1927), exposée en vitrine, avait ainsi attiré l’attention de Philippe Lenhardt. Elle offrait un point de vue inhabituel sur la Maison des Tanneurs, la restituant dans son aspect de 1917, bien moins propret qu’aujourd’hui, quand la Petite France était encore un quartier populaire avant de devenir un haut-lieu du tourisme de masse. Philippe Lenhardt ne pouvait que craquer.

C’est dire si dans la famille Lenhardt, on est sensible à un certain rapport au temps et à l’histoire. Qui s’incarne aussi dans les innombrables productions d’artistes (dessins, peintures, gravures, photos) qui ont pour thème la Maison des Tanneurs. « En discutant avec Walter, l’idée est venue de réunir des œuvres réalisées par des artistes d’un certain renom, d’en faire une petite publication et pourquoi pas une exposition », confie Philippe Lenhardt. Conjuguant leurs forces, ils ont réuni un panorama d’une trentaine de pièces signées Lothar von Seebach, Auguste Cammissar, Charles Spindler, Luc Hueber, Lucien Blumer, René Allenbach…

On y trouve même une photographie de Robert Doisneau, datée de 1945, qui remporte haut la main le prix du regard décalé : le reflet de la Maison des Tanneurs ondule dans l’Ill. Plus ancien encore, un autochrome de 1920, pris par Auguste Léon, avec une débauche de drapeaux tricolores rappelant que désormais Strasbourg est française.

Les œuvres sont visibles dans une salle d’exposition aménagée à la Maison des Tanneurs où la publication est également disponible (au prix de 8 €). Publication qui signale aussi qu’au carrefour de l’histoire de l’art et de l’histoire intime du lieu, y défilèrent d’illustres personnalités du monde des arts (Alain Delon, Jerry Lewis, Jean Marais, Mireille Darc, Maurice Chevalier, Peyo, le créateur des Schtroumpfs…) et de la politique (François Mitterrand, Michel Rocard, Robert Schumann, Valery Giscard d'Estaing, Simone Veil…). « Il y a même eu Buzz Aldrin, le deuxième homme à avoir marché sur la lune ! », lâche, à la fois fier et rêveur, Philippe Lenhardt. Lesté de la cuisine traditionnelle alsacienne, l’astronaute n’aura vraisemblablement pas regretté ce jour-là la nourriture de la mission Apollo 11.




vendredi 25 octobre 2019

Michel et Edouard Haag : des anciens du Gymnase qui brassent fort et libres !




Michel Haag (ancien de Jean Sturm) et Yolande, son épouse née Jung (ancienne de Lucie Berger) ont su préserver, contre vents et marées,  l’indépendance de la seule brasserie familiale indépendante d’Alsace, créée en 1640. 
Ils sont en train de passer les rênes de la brasserie Meteor à leur fils Edouard (Bac 2004), prêt à relever ce défi dans un univers de mastodontes de l’industrie agro-alimentaire.

La famille Haag vient de se voir décerner un prix prestigieux par Ernst et Young (EY). Le Comité des Alumni en est très heureux pour eux et les félicite chaleureusement.


Le Prix de l’Entrepreneur de l’Année a été créé il y a plus de 30 ans, il est aujourd’hui présent dans plus de 60 pays.

Ce programme permet aux entrepreneurs de nouer des liens avec leurs pairs, d’acquérir de nouvelles perspectives qui peuvent les aider à accélérer leur croissance et accroître la visibilité de leur entreprise et celle de leurs équipes. Chaque édition se conclut avec l’annonce du lauréat national. Le gagnant a ensuite l’opportunité de représenter la France lors du prestigieux événement World Entrepreneur Of The Year.







Le Prix national de l’entrepreneur de l’année, décerné chaque année par Ernst & Young (EY), était remis mardi salle Pleyel à Paris aux « fers de lance de notre économie, piliers de la croissance et de la compétitivité tricolore ».

La brasserie alsacienne indépendante Meteor (Hochfelden), qui avait déjà remporté ce prix à l’échelle du Grand Est, s’est illustrée en décrochant le prix de l’entreprise familiale de l’année, décerné à la famille Haag, aux commandes depuis huit générations.
C’est la seule entreprise alsacienne de ce palmarès national qui compte cinq prix.

A ne pas manquer : la vidéo d’Ernst et Young sur le Lauréat national 2019

Et, bien entendu, le compte rendu de la visite des Alumni du Gymnase à la Villa Meteor à Hochfelden, où Michel et Edouard les ont accueillis chaleureusement en juin 2017 !


jeudi 24 octobre 2019

Le cheval ou l'Alsace: le terrible dilemme d' Olivier Hahn (bac 1979)


« Si une chaîne qui ne parle que de cheval peut exister, pourquoi pas une chaîne qui ne parle que de l’Alsace ? »
 C’était il y a 10 ans : Olivier Hahn, bac 1979 au Gymnase, avec options flipper et Cintra avant une brillante trajectoire via Sc. Po et le Cuej, lançait Alsace 20 avec Lionel Augier.

 Soutenue par le mécénat de Dominique Formhals, d’Aquatic Show et la Région, cette chaîne de télévision originale s’est fait une place dans le milieu politique, économique, social.
 « Notre choix, c’est de proposer des invités, des chroniques, des magazines», explique Lionel Augier, directeur de la rédaction. « Alsace 20 aime bien les belles initiatives, les pépites économiques, les innovations ». « C’est un choix, on ne fait pas de faits divers ».

Longue vie à cette belle aventure !
Et nous ne doutons pas qu’elle ait été dignement fêtée …

A suivre sur 



Tous les détails du parcours d'Olivier en 


Article consacré par les Dernières Nouvelles d'Alsace à Alsace 20, le 20/10/2019:

Alsace 20, dix ans de programmes régionaux
La chaîne de télévision locale Alsace 20 fête cette année son dixième anniversaire. Retour sur un parcours qui a débuté… en 2006.

 Elle s’appelait Alsatic TV lors de son démarrage, en 2006, quand elle a été créée à l’initiative des deux quotidiens régionaux, les DNA et l’Alsace. Elle était alors installée au sein des DNA , tout près des rotatives. Cette télévision locale est née de l’idée qu’une chaîne qui ne parle que d’Alsace, c’était possible, se souvient Olivier Hahn, directeur général.

500 heures de programmes par an
« C’était, poursuit-il, l’époque où il y avait une explosion de chaînes de télévision. On s’était dit : si une chaîne qui ne parle que de cheval peut exister, pourquoi pas une chaîne qui ne parle que de l’Alsace ». En juin 2009, Adrien Zeller nous a dit : « La Région vous aide mais changez de nom, Alsatic c’est poussiéreux ». « On a choisi Alsace 20, parce qu’à l’époque elle était diffusée sur le canal 20 de la TNT. Quand Adrien Zeller est décédé, ces successeurs n’ont jamais remis en question son soutien. Et aujourd’hui encore, détaille le même, c’est la Région qui est notre principal soutien financier ».

Actuellement, explique encore Olivier Hahn, nous proposons entre une à deux heures de programmes frais par jour et, à côté de cela, des rediffusions. « Et tout cela gratuitement ». Par an, nous comptons 500 heures de programmes. Et de souligner : « un Alsacien sur trois nous regarde régulièrement ».
Quand la chaîne a été cédée par les DNA, le projet de reprise a été soutenu par Dominique Formhals, d’Aquatic Show, se souvient Olivier Hahn. Sous forme de mécénat. L’aventure dure toujours, avenue de Colmar.

« Notre choix, c’est de proposer des invités, des chroniques, des magazines», explique Lionel Augier, directeur de la rédaction. « Alsace 20 aime bien les belles initiatives, les pépites économiques, les innovations ». « C’est un choix, on ne fait pas de faits divers ».
Actuellement la moyenne d’âge de l’équipe est de trente ans. « Ils savent tous tout faire », expliquent les deux dirigeants. « On a pas mal de turn-over, certains partent, d’autres viennent. Ce sont souvent de jeunes journalistes en début de carrière qui restent en moyenne 4 à 5 ans ».
« Nous avons obtenu le soutien financier de Dominique Formhals parce qu’il pensait en termes de mécénat », disent encore les deux mêmes. Mais il n’a pas de « rôle éditorial, il n’intervient pas éditorialement ». « Ses conseils, en tant que chef d’entreprise, sont en revanche les bienvenus », soulignent les deux journalistes de la chaîne qui a une présence rédactionnelle à Paris, Colmar et Mulhouse. Et, poursuivent-ils, Alsace 20 s’est fait une place dans le milieu politique, économique, social. « Il a fallu arpenter le terrain pour s’inscrire dans le paysage ».

Dominique Formhals qui détient 56 % des parts de la société (Olivier Hahn 20 %, Lionel Augier 20 %, de petits actionnaires 4 %) souligne que la chaîne est à l’équilibre, et a le soutien des collectivités locales (Région, Strasbourg Eurométropole, Bas-Rhin et Haut-Rhin). Il explique être entré dans l’aventure parce que des Alsaciens devaient reprendre cette chaîne plutôt qu’un grand groupe. « C’est une bonne équipe qui pilote la maison, moi je ne suis que gestionnaire ; je laisse les journalistes faire leur métier ».

mercredi 23 octobre 2019

Des Gymnasiens, bac millésime 1955 !


A l’initiative de Lise Stoeckel, une vingtaine d’anciens élèves du Gymnase ont retrouvé leur lycée le 1er octobre 2019. Un groupe avec une particularité unique : ils y ont passé leur baccalauréat en …. 1955, il y a donc près de 64 ans !

 L’esprit vif et le regard en éveil, ces « jeunes » octogénaires (moyenne d’âge : 82 ans) ont parcouru les locaux, parvenant dans leur imagination à surimposer les anciennes configurations des locaux sur leurs structures actuelles: ainsi de l’ancien « escalier d’honneur » - interdit autrefois aux élèves et aujourd’hui submergé par un flot de collégiens et lycéens montant en cours ; il est vrai que passer de 500 élèves à 1 150 génère des flux particulièrement denses !

Ainsi de l’ancienne salle des professeurs, aujourd’hui engloutie entre le CDI et une cage d’escalier…. Mais le redoutable bureau du directeur – qui ne se souvient de ses guêtres ? – est toujours à la même place et génère révérence. 
A la suite du passage par le foyer des lycéens et d’un bref échange avec une des animatrices, une demande a surgi : ne pourrait pas créer une classe spécifique pour d’anciens élèves volontaires ?

 Égrenant souvenirs du passé et commentaires (positifs) sur ce qu’ils découvraient, nos anciens Gymnasiens se sont ensuite réunis dans l’un des amphis pour s’intéresser aux évolutions de leur ancien établissement scolaire : qui le fréquente, comment est-il organisé, comment faire face aux défis éducatifs actuels, quelles sont ses spécificités etc.… ? 

La pertinence des questions et une vraie curiosité intellectuelle par rapport aux enjeux actuels ont permis de échanges très intéressants avec le président des Alumni Jacques Flurer et JP Perrin, secrétaire.

Les vaillants octogénaires se sont ensuite rendus au Strissel pour partager un repas sans nul doute très convivial.

Le Comité des Alumni a été très heureux d’accueillir de tels Gymnasiens, enviant leur dynamisme préservé, et très heureux aussi de pouvoir leur faire découvrir des lieux où certains n’étaient pas revenus depuis …. 64 ans !

dimanche 20 octobre 2019

Cours magistral pour les anciens élèves


Près de 90 anciens élèves et amis du Gymnase se sont retrouvés dans l’amphithéâtre Charles Lindbergh de L'Institut de Recherche contre les Cancers de l'Appareil Digestif (IRCAD - https://www.ircad.fr/fr/). 

Ils y ont découvert ce que l’alliance entre la haute technologie produite par le monde industriel, l’intelligence artificielle au service de la capacité de recherche et de développement de chercheurs, le savoir-faire et le dynamisme d’un médecin visionnaire pouvaient produire de mieux et de fascinant au service des malades. 

Produire mais aussi transmettre dans le monde entier, de la Chine au Brésil en passant par le Rwanda et le Liban, en y formant chirurgiens et soignants.

Le compte rendu paru dans les DNA du 30/09/19 sous la plume de Christine Kinder en témoigne :

 L’Amicale des anciens élèves du Gymnase s’est rendue récemment à l’Ircad, où le professeur Jacques Marescaux, son président fondateur, a expliqué avec enthousiasme les techniques et innovations en cours dans cet institut de recherche des cancers de l’appareil digestif, à la pointe de la chirurgie mini-invasive.

 Implanté sur le site des hôpitaux universitaires de Strasbourg, l’Ircad, institut de recherche et de formation chirurgicale, spécialisé dans la chirurgie mini-invasive – qui vise à réduire le traumatisme opératoire –, a acquis un savoir-faire et une expertise reconnus à l’international. 
C’est dans ce contexte d’excellence qu’un groupe d’Alumni, membres de l’amicale des anciens élèves du Gymnase, a poussé la porte de cet institut prestigieux. « L’humanisme est une éthique de confiance en la nature humaine. C’est une valeur que le Gymnase et l’Ircad partagent pleinement », a déclaré Jacques Flurer, le président des Alumni devant l’assemblée assise dans l’auditorium.



L’évolution de la chirurgie comparée à celle de l’aéronautique
 Car c’est bien de l’homme au cœur des technologies qu’il fut question, quand le professeur Marescaux, se déplaçant avec des béquilles – les suites d’une opération de la hanche qui, précise-t-il avec le sourire, n’a duré que 21 minutes –, s’est dirigé derrière l’estrade pour revenir sur la genèse de cet institut privé, qu’il a fondé avec son équipe en 1994.
 S’exprimant tel un « commandant de bord », il a comparé l’évolution de la chirurgie à celle de l’aéronautique. Il a loué l’apport positif de la réalité augmentée, de la robotique et de l’intelligence artificielle, qui ont fait irruption dans les blocs opératoires. Cet apport de la technologie permet une chirurgie plus « ciblée », un meilleur « diagnostic », et une plus grande précision dans le « geste » chirurgical.

Un moment de convivialité partagée a ensuite réuni tous les auditeurs et les intervenants pour prolonger une soirée unanimement appréciée.