samedi 21 avril 2018

Un clic, un vote !

…..avant le 8 mai 2018

Concours « Je filme le métier qui me plaît », étape suivante

http ://www. jefilmelemetierquimeplait.tv/ selection-officielle/session-2018/ a-bout-de-souffle/prm25_jf18_ 1948.html
 Des lycéennes du Gymnase ont tourné un film de 3 mn sur le métier de souffleur de verre. En compétition nationale.

Célia avait déjà participé l’an dernier au concours national « Je filme le métier qui me plaît » avec Pierre Grasser. En plus, cette année, elle est engagée – et c’est la seule du groupe – dans l’option cinéma et audiovisuel. Les voilà parties pour produire un film.

Tournage à Meisenthal

Mais plutôt que de parler du métier d’opticien et physicien du XIXe  siècle, celui de l’inventeur, les filles choisissent celui de souffleur de verre, que les parents de Joseph von Fraunhofer pratiquaient. « Un métier atypique pour nous distinguer dans le concours », glisse malicieusement Célia.
Grâce à l’enseignant qui mène la section audiovisuelle, Vincent Grossmann, l’équipe a obtenu l’accès au matériel et à la salle de montage. « On a profité du marché de Noël pour tourner une partie des images et après, on est allé filmer à Meisenthal », retrace Émeline.
Cécile la discrète a coordonné le groupe à coups de WhatsApp pour trouver des plages de travail. « On a adoré faire ce projet, c’était génial, on a été hyper productives », se félicitent les filles. En retrait, les profs sourient.

Avant la compétition du 22 mai pour leur film « A bout de souffle », qui combine humour et infos, les filles ont déjà remporté à Paris le premier prix pour leur « pitch » de 30 secondes en vidéo. « La pire expérience de ma vie », rigole Inès, qui arrive « à bout de souffle » à la fin du pitch, clin d’œil au titre.


Vote jusqu’au 8 mai
Cette ambassadrice de la solidarité – il y en a une ou un par classe à Sturm – a proposé de donner la tablette qu’elles ont gagnée à l’association Les Disciples, à Cronenbourg, pour des enfants défavorisés.
Dans le TGV du retour, Célia n’a pas hésité à « faire tout le train avec un énorme paquet de flyers » pour dire aux passagers de voter. Parmi les 2 461 inscrits, leur projet est bien placé – mais pas (ou pas encore) premier. « On y a mis du cœur et de la motivation : ça vaut bien 5 étoiles », insiste Célia.

DNA 11 avril 2018 Charlotte Dorn
Pour voter, jusqu’au 8 mai, il faut cliquer sur le nombre d’étoiles voulu à cette adresse, où l’on peut regarder le film :
http ://www. jefilmelemetierquimeplait.tv/ selection-officielle/session-2018/ a-bout-de-souffle/prm25_jf18_ 1948.html

Guillaume Liegey (Bac 1997) du Gymnase au Big data



Dans le cadre de son cycle « trajectoires d’élèves », l’Amicale des anciens du Gymnase a offert une tribune récemment à Guillaume Liegey, 38 ans, cofondateur de LMP, une start-up de stratégie électorale, sollicitée par François Hollande, puis Emmanuel Macron, lors de leurs campagnes respectives.

  « Seriez-vous un magicien des réussites présidentielles ? », avance Jacques Flurer, le président de l’Amicale des anciens du Gymnase, en présentant Guillaume Liegey, le 27 mars 2018 à son auditoire réuni à Jean-Sturm. Car il est de coutume, à l’issue de l’assemblée générale des amis et anciens du Gymnase, d’inviter un élève à raconter son parcours post-bac.

Guillaume Liegey, Strasbourgeois d’origine, a depuis ses « années Gymnase » et son bac S décroché en 1997, fait du chemin. Diplômé d’HEC, il est étudiant à la prestigieuse université d’Harvard en 2008, au moment où l’Amérique tout entière est portée par le Yes we can d’Obama.

D’Obama à la Grande marche de Macron

Passionné de politique, Guillaume se connecte sur le site du candidat démocrate, et se retrouve sollicité pour faire du porte-à-porte dans le New-Hampshire. C’est le déclic ! De cette campagne hyperconnectée, il en conclut que pour gagner il faut combiner « data, technologie et l’humain ». Il en discute avec ses deux potes alsaciens, Vincent Pons et Arthur Muller, également étudiants aux États-Unis. De retour en France, le trio développe un logiciel d’analyse de l’opinion publique qui croise notamment cartographie électorale et données sociodémographiques.

Bingo ! L’équipe du candidat Hollande fait appel à eux en 2012. Ils frapperont à cinq millions de portes dans cette vaste opération qui a pour objectif « d’écouter des gens de tout bord politique » afin de « briser l’entre-soi » et de « traquer les indécis ». « Nous n’avons pas fait gagner Hollande », confie modestement Guillaume, tout en expliquant, power point à l’appui, que cette stratégie a été payante puisqu’Emmanuel Macron fait aussi appel à ces trois surdoués, bardés de diplômes, qui lancent leur start-up -LMP- en 2013. Avec Macron, LMP contribuera au succès de la « Grande Marche » où il s’agira « d’aller à la rencontre des Français » en recueillant leurs témoignages. On frappera à 300 000 portes, 100 000 entretiens seront menés et 25 000 conversations répertoriées.

L’allure studieuse mais rieuse, Guillaume Liegey confie que si le goût de la politique a primé au début, c’est le challenge de l’entreprenariat qui motive aujourd’hui ce trentenaire qui vit à Londres et est papa de deux filles. Basée dans le 11e à Paris, la start-up LMP emploie 25 salariés et espère grimper à 40 sous peu. Une trajectoire impressionnante qui illustre la variété des parcours de ces élèves qui ont été sur les bancs du Gymnase (11e lycée français) et qui, par le biais de son réseau des Amis et Anciens, - les alumni -, 1 700 inscrits, créent des ponts entre Gymnasiens, anciens et nouveaux, afin de transmettre et partager leur expérience.

Christine Kinder - DNA 1 avril 2018

A retrouver aussi dans un article  - au titre accrocheur - de Paris Match, en date du 14 avril 2018 :


Pierre Loeb (Bac 2006) et Emmanuel Macron


                                                Des convictions infatigables....


Après cette démarche officielle Emmanuel Macron s’est rendu dans le parc où invités, responsables associatifs, militants européens de longue date et militants l’ont rejoint sur la pelouse.

Parmi eux, Pierre Loeb, connu pour faire du lobbying en faveur du Parlement à Strasbourg, a n’a pas raté l’occasion de lui remettre un dossier argumenté : « on a besoin de votre soutien », l’a-t-il assuré. Interpellation entendue, puisque le président a réaffirmé peu après son attachement à la place de Strasbourg.

Extraits des DNA du 18 avril 2018, sous la signature de Yolande Baldeweck


Quand il ne vient pas rencontrer le président de la République à Strasbourg, Pierre Loeb est directeur du Club des 100 de la Maison de l’Alsace à Paris

Association qui a vocation à fédérer 100 entreprises alsaciennes en leur proposant des services comme un spot de communication vidéo diffusé sur la façade du bâtiment sur les Champs-Elysées et des facilités d’accès et d’utilisation de la Maison de l’Alsace à Paris.  

Pierre Loeb précise: " Notre cœur de métier est d’être créateur de liens. Les entreprises membres du Club ont des perspectives de développement économique à Paris. Pour cela, celles-ci disposent d’une adresse parisienne et d'un accès à des espaces de travail, d’un business lounge ainsi que des services de conciergerie et de bagagerie ",


Jean-Baptiste Gernet (Bac 2006) au pilotage



Un Gymnasien au comité de pilotage 
du Grand plan d’Investissement de l’Etat

Jean-Baptiste Gernet est adjoint au Maire de Strasbourg en charge de domaines qui lui tiennent à coeur :

 les mobilités alternatives (hors voitures et transport en commun), le partage des modes de déplacement dans les projets de voirie et d'aménagement des espaces publics,  les frontages et aménagements innovants, la vie fluviale, la logistique urbaine, l'économie solidaire et les nouvelles économies.

Sur proposition du ministère de la Transition Ecologique et Solidaire, il a été nommé, parmi quatre personnalités qualifiées, pour participer au comité de pilotage du Grand plan d’Investissement pour la partie «transports durables et mobilités du quotidien».




Le GPI constitue une composante majeure du Plan climat, outil de mobilisation du Gouvernement, mais aussi de l’ensemble des parties prenantes : citoyens, entreprises, acteurs économiques et territoires.
 



Ce comité de pilotage qui sera présidé par Nicolas Hulot doit décider de l’utilisation de 4 milliards d’euros pour la période 2018-2022.

Le comité de pilotage d’installation aura lieu mardi 24 avril à Paris.

Guillaume Kern (Bac 2014), l'écriture du magicien


Guillaume Kern, prix Louise Weiss (Bac 2014)

 

Les quatre lauréats du prix Louise-Weiss ont été dévoilés, jeudi au Collège doctoral européen de Strasbourg, en présence d’élus, d’étudiants et de la marraine de cette cinquième édition, Chloé Delaume. 
Ce concours de littérature des étudiants de l’Université de Strasbourg était placé sous le thème de la « Dé/connexion ». Dix nouvelles avaient été présélectionnées sur les 207 soumises. 

Voici comment Guillaume a vécu cette aventure: 

 « J’ai décidé de me lancer dans le concours sur un coup de tête. J’ai vu une affiche du prix, un soir d’hiver, il faisait froid, j’avais cours à 19 h. 

Le thème, Dé/connexion, m’a tout de suite fait penser à quelqu’un en train de mourir et puis j’ai remonté le fil de l’histoire. 
Tentative de reconnexion, veuillez patienter… parle d’un homme qui de son enfance à son plus vieil âge se déconnecte de tout et plonge de plus en plus dans la dépression. À la fin, il fait une tentative de suicide qui échoue et se réveille entouré de tous ses proches, reconnecté… 
Ce qui m’inspire, ce sont essentiellement les travers de l’homme. D’habitude, j’écris plutôt des choses noires. Là, j’ai voulu introduire une note positive, avec la connexion dans la chute. Le plus difficile pour moi a été de structurer le récit, je préfère souvent la forme au fond. Quoi qu’il en soit, c’était une bonne occasion de se mesurer à un jury de professionnels. Ça a toujours été un rêve de pouvoir éditer un roman. Ce prix me pousse à continuer. »


Trois prix ont été décernés suite aux votes étudiants :

1er prix : Guillaume Kern, en licence 3 de droit, pour sa nouvelle Tentative de reconnexion, veuillez patienter… (1 000 €). 2e prix : Timothée Haug, doctorat de philosophie, pour Ok, take care babe (800 €). 3e prix : Emilie Thomas, doctorat de droit, pour L’incompris (500 €). Le prix du jury a été remis à Alexis Huchelmann, master 2 de lettres, pour Coupé (750 €).

 « Le plus dur, c’est d’arriver à la fin, que le texte ne soit pas qu’une sorte de fuite en avant », glisse le lauréat qui évoque un possible « ticket pour une autre aventure. »
Une publication aux Presses universitaires de Strasbourg réunira les textes des dix finalistes, à l’automne.


A noter que Guillaume a plus d’un tour dans son sac : droit, littérature, certes, mais aussi magicien à ses heures. Les couloirs du Gymnase s’en souviennent …

Gautier Gumpper à la caméra


Gautier Gumpper, ancien de la filière CAV



La maison de production strasbourgeoise Ana films épaule les réalisateurs depuis 25 ans.
Sur les quatre dernières années, Ana Films a porté trois films sélectionnés au Cinéma du Réel : « C’est ma vie qui me regarde » de Damien Fritsch, « Retour à Forbach » de Régis Sauder et « L’esprit des lieux » de Stéphane Manchematin.
Haut perchée sous les toits de la rue du Sanglier à Strasbourg, Ana films, société de production, ne se lasse pas de faire naître des films sous de bonnes étoiles. Cela fait vingt-cinq ans qu’elle accompagne les réalisateurs en herbe ou chevronnés à mettre leur œuvre au monde. 

Jean-Marie Fawer, Lorraine Franschechi -nouvelle arrivée- Milana Christitch et Gautier Gumpper font tourner la maison fondée en 1993. Jean-Marie, qui enseigne aussi, a rencontré Gautier alors que ce dernier était élève au lycée Sturm, en bac option cinéma.


Actuellement, explique Milana Christitch, « on nous envoie beaucoup de jeunes auteurs ; il y a une prise de risque. Il faut prendre le temps nécessaire pour les entourer ».

Et de citer le parcours d’Éléonore Greif. Sortie de l’école IECA de Nancy, elle a développé son premier documentaire avec l’équipe de la rue du Sanglier. « Mange-moi » évoque l’anorexie de sa sœur. 
Un travail délicat maturé pendant deux ans, avec de nombreuses versions du scénario, explique Gautier Grumpper, qui insiste sur la nécessité de prendre le temps pour accompagner les jeunes auteur(e) s.

DNA du 27 mars 2018

mercredi 18 avril 2018

Et après le Gymnase ?


Le Gymnase Network,
pour construire votre réseau !


Les Alumni du Gymnase ont développé le « Gymnase Network » (sur Viadeo et LinkedIn), accessible à tous les anciens du Gymnase. Cet espace est un lieu d’échanges, de partage d’expertise (études en France et hors de France, professions, stages, entreprises, etc.) et de convivialité, dans le cadre des valeurs humanistes portées par le Gymnase.

Pourquoi un réseau ?

·             Les filières post-bac (universités, prépas, écoles…) ne cessent de se diversifier et de s’enrichir sous l’effet d’une concurrence accrue. L’expérience de ceux qui sont engagés dans des filières, des métiers, constitue un élément d’information essentiel, et permet d’ouvrir le regard sur d’autres voies.
·             Les études universitaires passent de plus en plus souvent par des cursus à l’étranger. Comment se renseigner sur le nouveau pays, être aidé dans les choix, les pratiques, la vie quotidienne ?
·             La recherche d’un premier emploi, d’une première expérience professionnelle, passe souvent par la voie d’un stage, où le poids de la recommandation n’est pas négligeable. L’appui de contacts fiables est précieux, aussi bien en France qu’à l’étranger.

Des milliers de membres de réseaux sociaux professionnels mentionnent leur passage au Gymnase. Le « Gymnase Network » vous offre donc un vaste vivier de références et d’expertise, réparti dans un grand nombre de métiers, sur tous les continents.

Lycéen ou ancien élève du Gymnase, vous êtes membre de droit de l’association des Alumni. 
Pour bénéficier au mieux des possibilités qu’il offre, nous vous invitons à vous affilier au « Gymnase Network », via 
ou à nous contacter à l’adresse : alumni@legymnase.eu

Bien cordialement,
Jacques Flurer,
pour le comité directeur

lundi 9 avril 2018

La communauté éducative du Gymnase s’engage



Réseaux sociaux : comment maîtriser ?


Dans le cadre de sa mission de formation, le Gymnase a le souci de travailler en pleine collaboration avec les parents d’élèves, dans un partenariat qui place les élèves au cœur de son action.

API, association des parents d'élèves du Gymnase, souhaite initier et soutenir des initiatives visant à enrichir la réflexion sur l’éducation des élèves, leurs enfants.

L'Association "La Croisée des Chemins", présente dans l'établissement à tous les niveaux sur le temps scolaire et périscolaire, est active depuis des années sur le champ de la prévention en direction des élèves. Elle œuvre en dehors des temps d’enseignement, complétant le travail de prévention mené par l’établissement pendant les cours.

Ces trois acteurs ont travaillé ensemble pour vous proposer une conférence sur le thème « Réseaux sociaux et adolescents : vers un usage responsable» le jeudi  12 avril à 20h00 au Gymnase Jean Sturm, dans le grand amphithéâtre du Cube (infos complètes en pièce jointe).
M. Thomas KAYBAKI est coordinateur des actions pédagogiques à l’association THEMIS, qui œuvre dans le champ de l’accès au Droit pour les enfants et les jeunes. Il viendra nous faire partager le fruit de sa riche expérience sur ce thème, qui concerne nos enfants, futurs ou déjà adolescents. Il sera accompagné de Mme Monia SCATTAREGGIA, juriste et Directrice de l’association THEMIS.
Nous vous invitons à vous inscrire au plus tôt, dans la limite des places disponibles, via le lien ci-dessous.

https://goo.gl/forms/NdfZMxQoDkWjfyKB2  
              

Un moment d'échange autour du verre de l'amitié clôturera cette soirée.
Dans l'attente de vous y accueillir,

Pour API                          Pour la Croisée des Chemins         Pour le Gymnase
Ségolène ROURE              Jean-Claude GRAEFF                    Guy MIELCAREK
Présidente                                    Président                                  Directeur