Michel Hutt nous propose son
dernier roman « le Cri du Colibri », préfacé par Pierre Rabhi, qu’il souligne avoir été nourri
par l'humanisme protestant cultivé entre les murs du Gymnase entre 1976 et
1987.
Faire sa part
Dans un futur proche, à la veille d’une crise généralisée, se croisent un quadra parisien
stressé aux prises avec une ado rebelle, un vieux menuisier
oublié des siens,
une fille des banlieues qui fuit le machisme
et
la violence, un trader qui perd les pédales, un notaire amateur de rock’n’roll et une jeune
maman un peu provocatrice éprise
de littérature.
Tous ont entendu à un moment ou à un autre le Cri du Colibri, et
décident de « faire leur part » avec confiance
et lucidité, au coeur d’une vallée alsacienne en quête d’avenir.
Ils choisissent de cultiver la bienveillance, la solidarité et l’enthousiasme plutôt que le repli sur soi ou la résignation.
Ils choisissent de cultiver la bienveillance, la solidarité et l’enthousiasme plutôt que le repli sur soi ou la résignation.
Michel
Hutt, baccalauréat 1987