Nombreux étaient ceux qui ne s’étaient pas revus depuis tant d’années …
La Joie des Retrouvailles, 25 ans après au Gymnase Jean Sturm
Les photos de classe, les films de l’époque, la consultation du yearbook 1986 alimentent les conversations et sont l’occasion de se remémorer des anecdotes croustillantes.A l’issue de la soirée qui s’est poursuivie jusque tard dans la nuit, tous ont convenu qu’il était indispensable de se revoir, sans attendre 25 ans.
Que d’émotions ! Erwin s’en fait l’écho ci-dessous.
La Joie des Retrouvailles, 25 ans après au Gymnase Jean Sturm
Ils
sont venus de Bergerac, Aix-en-Provence, Luxembourg, Paris… et bien sûr de
Strasbourg, la génération du Gymnase Jean Sturm qui a eu son bac en 1992 a
décidé de se retrouver dans l’enceinte du Gymnase, 25 ans après. La soirée
débute par une visite des locaux sous la houlette de Jean-Pierre Perrin, ancien
proviseur de l’établissement. Difficile de reconnaitre l’établissement qu’ils
ont fréquenté, tant les travaux et rénovations ont modifié les lieux… donnant
presque envie de reprendre ses études.
Après
un petit mot de Jacques Flurer, Président de l’association des anciens élèves
du Gymnase, rappelant les valeurs humanistes du Gymnase et invitant chacune et
chacun à contribuer à faire vivre le réseau, la soirée peut débuter par l’apéritif
suivi d’un buffet dans le foyer, sous le regard bienveillant et la
participation active de Jean-Louis Pataillot, Président des Parents d’Elèves.
Maisl’essentiel n’était pas là. Il fallait voir la joie sur les visages et l’émotion qui a gagné la plupart des participants, heureux de se revoir 25 ans après. Comme s’ils s’étaient quittés il y a quelques semaines sur la place des Etudiants. La visite de certains enseignants ajoutait à l’émotion.
Les photos de classe, les films de l’époque, la consultation du yearbook 1986 alimentent les conversations et sont l’occasion de se remémorer des anecdotes croustillantes.A l’issue de la soirée qui s’est poursuivie jusque tard dans la nuit, tous ont convenu qu’il était indispensable de se revoir, sans attendre 25 ans.